Les bancs publics nous rappellent que l’homme a existé. Tu es libre de t’y asseoir et d’oublier ce qui te chagrine. Tu peux aussi t’y arrêter et voyager avec moi. Je mourrai avant toi, alors tournons-nous et regardons.
Invitation au silence et à la contemplation. Trop de bruit ici. Il faudra revenir, après…
Tentant… m’y asseoir juste pour regarder passer le temps mais le temps passe, m’accuse déjà de vouloir sa perte, de ne jamais tenir mes promesses, de ne jamais finir ce que j’ai commencé -ce matin rangement et papiers à jeter- bref, merci pour l’invitation, mais pas aujourd’hui (penser à relire « L’Ennemi » de Baudelaire)
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les bancs publics disparaissent – profitons de ceux qui sont là
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Merci d’être passée vous asseoir par ici. À bientôt. xavier
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peux pas m’empêcher de penser à cette chanson de Brassens http://www.dailymotion.com/video/x5nqgd_georges-brassens-les-amoureux-des-b_music
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Merci Celine, je ne peux m’empêcher d’y penser aussi. Merci, xavier. .)
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Je me suis assis, et j’ai apprécié. Je repasserai!
Tu peux venir t’assoir sur mon banc, je t’y invite:
http://www.imperfect-poet.blogspot.com
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Pourquoi mourir avant moi ? Lorsque l’on meurt il n’y a pas d’avant…ni d’après. Il n’y a que ce moment qui suspend tout dans le temps.
Superbe photo, j’adore les bancs ils ont tous une histoire à raconter.
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Merci Denise. Je ne sais pas pourquoi, pas d’explication. Les mots sont venus ainsi, les uns après les autres. Les miens ont souvent peu de sens, mais je les aime bien ainsi. xavier .)
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Mais non tes mots ont du sens Xavier et je les aime bien également. Ce qui m’a un peu bouleversé est le « Je mourrai avant toi » … Je crois que tu sais que je ne veux plus jamais voir un être que j’aime mourir avant moi. Et puis je voudrais bien exister sur ce banc, assise dans le silence en m’imaginant ce que l’on pourrait me raconter pour me faire voyager.
Bise de Denise 🙂
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Merci Denise, heureux de te retrouver… Je suis au Mexique, un peu décalé (comme d’ahabitude tu me diras)… Tes mots me font extrêmement plaisir. Bises .) xavier
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