Dans nos absences,
Dans nos silences,
Sans différences,
L’appel des sens,
Seule la présence,
De notre essence,
Éminence,
Quintessence.
Fuir nos absences,
Nos références,
En silence.
Une seule et unique conscience.
Une seule et unique évidence.
Dans les silences
de nos absences.
Enfance,
Puis descendance.
Les mêmes silences,
Les mêmes absences.
Évidence,
Puis dépendance.
Une occurrence.
Fausse apparence,
Fausses circonstances.
Nos ignorances,
Nos errances,
Et nos absences,
Tancent
Nos silences.
Et dansent
Nos absences.
Une violence,
Désespérance.
Les mêmes silences,
Les mêmes absences.
Une même souffrance,
Une évidence.
Mais le silence,
N’est pas absence.
Une évidence,
Pas une croyance.
Dans nos absences,
Dans nos silences,
Future naissance,
Nos espérances.
Une évidence…
Même le silence,
N’est pas absence.
Xavier…pas de mots. Je suis silencieuse. Complètement muette tellement je trouve magnifique cette poésie. Le silence me parle depuis toujours. Merci pour tes mots.
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Denise, à mon tour de te dire… pas de mots pour te remercier. Je suis très très touché et heureux que ces quelques mots te plaisent. Merci à toi. Je t’embrasse… xavier .)
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Une très belle harmonie entre les mots et la photo,
une descente en poésie
de ce ciel gris.
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Merci, merci à toi.
Cela me fait plaisir de te lire.
Merci encore de m’avoir laissé écrire sur cette superbe photo et sur ton blog.
Je t’embrasse, xavier .)
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