Viens de terminer Personne de Gwenaëlle Aubry, cinquième roman de cette jeune femme née en 1971. Prix Médicis 2009. Je ne sais comment définir les émotions et sensations procurées par ce récit. J’aurais peut-être besoin d’une autre lecture, je ne l’ai sans doute pas lu au bon moment. Je ne sais pas, c’est étrange, mais je le recommande.
Je vous livre la dernière phrase du roman que vous n’êtes évidemment pas obligé de lire mais que j’aime tout particulièrement:
« le droit enfin de ne plus être quelqu’un. »
Personne, Gwenaëlle Aubry
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